Sherlock 2.0 : de l’empirisme à la connectivité
DOI :
https://doi.org/10.18192/analyses.v10i3.1411Résumé
La télésérie Sherlock met en scène un Holmes contemporain, tributaire, à bien des égards, de la culture de l’ordinateur qui s’est déployée au cours des vingt dernières années. L’actualisation du personnage est particulièrement originale dans la mesure où elle associe constamment, par le biais de divers procédés visuels, processus mentaux et technologies informatiques. Cet article tente de comprendre en quoi un tel glissement est significatif par le biais d’une lecture croisée du canon et de l’adaptation. Il vise ainsi à montrer que la télésérie, dans ses divergences avec l’œuvre de Conan Doyle, propose implicitement une allégorie de la connaissance numérique.Téléchargements
Publié-e
2015-09-27
Numéro
Rubrique
Dossier - Résonances médiatiques : partages, transferts et appropriations
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