La marche en crabe de trois types de vraisemblance (empirique, générique et diégétique) dans <i>La Nébuleuse du crabe</i> d’Éric Chevillard
DOI :
https://doi.org/10.18192/analyses.v11i2.1584Résumé
En raison d’une problématisation évidente de trois types de vraisemblance (générique, diégétique et empirique), le roman La Nébuleuse du crabe d’Éric Chevillard (1993) échappe à la fois à la cohérence et à la logique du récit attendues, et, forcément, au lecteur. Bien qu’une œuvre commette nombre d’entorses à la vraisemblance, celle-ci parvient malgré tout à formuler une proposition sur le monde. Dans cette optique, notre intérêt ici est de dépasser le simple constat de ludisme, en observant de quelle vision du monde peut participer La Nébuleuse du crabe.
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