Olivier Adam, géographe des classes moyennes. Quand l’intime devient collectif
DOI :
https://doi.org/10.18192/analyses.v12i3.2101Résumé
À la parution de son roman Les Lisières en 2012, Olivier Adam explique : « Même si je suis sur le terrain des enjeux intimes, je cherche un intime qui soit collectif. » (Busnel) Ce romancier « social » peint en effet dans ses romans l’histoire de personnages issus de la classe moyenne, économiquement et socialement fragilisés. Cet article se propose, à travers trois romans – À l’abri de rien (2007), Les Lisières (2012) et Peine perdue (2014) –, d’étudier comment il parvient à articuler l’intime et le collectif.Téléchargements
Publié-e
2017-08-25
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