Bitter sweet: Fournier’s Gangrene and SGLT2 inhibitors

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Coralea Kappel

Résumé

Le diabète, en particulier de type 2, est l’une des plus grandes épidémies du XXIe siècle, touchant plus de 415 millions d’adultes dans le monde et est projeté d’affecter plus de 640 millions d’adultes d’ici 2040. Les patients diabétiques sont à risques de nombreuses atteintes défavorables, notamment les maladies cardiovasculaires avec un risque accru de mortalité. En fait, les lignes directrices par l’Association canadienne du diabète émise en 2018 ont mis à jour l’algorithme de la gestion du diabète de type 2 ; si le patient a une maladie cardiovasculaire clinique, l’ajout d’un agent anti-hyperglycémique ayant des bénéfices cardiovasculaires est maintenant recommandé. Il existe nombreuses thérapies offrant des avantages cardiovasculaires approuvés par Santé Canada, dont deux provenant de la classe des inhibiteurs du sodium-glucose cotransporteur 2 (SGLT2), soient la canagliflozine et l’empagliflozine. En dépit de leurs nombreux avantages, l’Agence américaine des produits alimentaires et médicaments a émis une alerte sur le risque de fasciste nécrosante périnéale (gangrène de Fournier) chez les diabétiques traités avec un inhibiteur SGLT2. Cette étude de cas met en évidence un cas de gangrène de Fournier (FG) chez un homme traité avec l’empagliflozine pour le diabète de type 2.

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Case Report & Elective report